lundi 20 juillet 2015

L' homme

                                                                   


On a toujours  pensé a un Lenine révolutionnaire, agitateur politique, mais un séducteur ? et bien voila un Lenine inconnu, un homme aimant les femmes.
C'est à la fin de l'année 1905, dans des circonstances bien faites pour amorcer quelque roman d'aventures, que Lise de K... rencontra pour la première fois Lénine à Saint-Pétersbourg.


Lise
 Jeune encore à cette époque, aussi séduisante qu'on pouvait l'être au temps des robes montantes, des longues chevelures et de cette discrétion mystérieuse que les mœurs imposaient naguère au sexe faible, Lise  appartenait à une classe de jeunes femmes oisives et aisées, volontiers cosmopolites, qui ne restaient pas étranges aux manifestations de la vie intellectuelle et politique de la société petesbourgoiese.

C'est dans ce milieu agité, et surveillé, où l'on risquait à tout moment d'être interpellé par quelque membre de la police impériale, que Lise de K. entra en relations et se lia même avec des propagandistes suspects, des militants téméraires ou traqués, dont certains devinrent brusquement célèbres dans l'Europe entière.

Un soir de Novembre Lise entra dans un restaurant tartare et c’est la bas qu’un tel Monsieur Roumiantzev les a presenté. Le coup de foudre s’est produit de façon immédiate.

Quelque temps après ils se sont rencontrés de nouveau dans la siège de Nouaï Jin et Lenin a été flatteur : Comme je suis content de vous revoir ! il me semblait embarrassé, timide, il m’était difficile de voir  pour tant  dans cette phrase banale autre chose qu’une invitation deguisée.

En 1905 il y avait de revoltes par tout l'impire, Lenine vivait a Geneve mais voyageait souvent a Saint Petesbourg, il manquait un chef veritable pour donner forme et direction a la fureur populaire, mais en ce moment il ne pouvait assumer ce rôle, il ecirvait dans la calme genevoise, potassait Marx et publiait des brochures, il vivait quasi bourgeoisement. 

L'opinion de Mme Malaparte.Il allait aux provisions dans une tenue de bourgeoise propet mais avare, choisissant minutieusement les pommes de terre, les saucisson ou les fruits necessaires au repas et donnait un coup de main a la maison.

L'orsque la nouvelle sur la marche du Palais d'Hiver fut connue, Lenine quitta la Suize pour la Rusie, en ce moment il etait présque un inconnue du grand publique, pourtant il avait ecrit déja Que faire? (1902)

Quelques semaines plus tard Lise fut invitée a participer au dinêr dans le même restaurant tartare du premiere rencontre, ce soir lá Lenine fut sous le charme de l'aristocrate, il parla de jardins, de folklore et de melodies tziganes ainsi que de ses trois années dans l'exil de Siberie. Ce dinêr l'avait nus de belle humeur, et s'efforçait de le prolonger, tous les preventions contre la classe aisée s'etaient ávanouies. Toutefois il s'eternisait et plaisentait 

Mrs Roumiantzev fut savoir a Lenine que l'appartement de la camarade etait a sa disposition pour les reunions dont il avait besoin, et c'est ainsi que la liaison entre eux commence.

Lenine arrivait a l'avance et jetais un coup d'oeil. Le visiteur inconnu devait me dire d'abord le mot de passe, Il avait un pseudonyme Willian Frey, je ne savais pas  en ce moment qu'il etait connu comme Lenine. L'orsque j'avais introduit le visiteur auprès de celui que je considerais comme le chef je refermais aussitôt et je me retirais dans une autre pièce.

Trois ou quatre fois aucun complice ne repondit a ses apelles, alors nous demeurions seuls plusieurs heures, toujours attentifs et pourtant intimes, nous en profitions pour prendre le thé, allumer le samovar et prendre des vatrouchtkis ( petits pains fourrés au fromage).Parfois j'eus l'impression qu'il ètait a cent lieues de ses preocupations, je jouais le piano pour lui, il s'installait pres de moi et me regardait de façon ironique, il èmait la Pathetique de Betooven mais il etait un auditeur de glace. 

C'est dans cet endroit conuu comme Jardin d'èté qui  faisaient des promenades Lise et Lenine bras dessus a Saint Petesbourg

  Petit a peti on commençaient  a avoir une complicité, nos têtes a tètes devant le samovar, les questions qu'il me posait a tous les propos , tout cela creait une intimité d'une qualité particulière .Pour tant je le trouvais gauche et inexpert dans la galanterie. Je lui plaisait beaucoup, mais moins que la tache qu'il s'avait imposé, mais j'en suis sûre d'avoir compté beaucoup dans sa vie aride et secrète. Parfois on parlait de politique . Et que disent  donc vos semblables? et moi je le recontais tout ce qu'on disait dans le milieu. 


A cet époque on l'appellait dèjá l'starik ( le vieux).Nombreux etaient les bolcheviques  qui l'accusèrent pourtant de pèrorer sur une chaise alors que les ouvrieres se faisaient bravement tuer a la campagne, il se sentait seul et incompris.

                                                            
1910.- 40 ans



Les rencontres de Lise et Frey continuerent tout au long de 1906 , elle fut même au congres d'Stokolme, elle assistait par fois aux massovka (reunions clandestins de masses a la fôret). Avant de partir en Stokolm ils ont pris un jour rendezvous au jardin d'èté où ils se sont prommené bras desus.

Aprés Stokolm Lise reçoit une lettre dont elle comprend que tout etait fini entre eux, mais dix huit mois plus tarde j'apris que Lenine donnait une conférance a la Societé de Savants a Paris et je decide d'y aller,dans l'entr'acte je m'approche et je lui tends un papier avec mon adresse, je savais que le lendemain il y serait et c'est comme ça que notre liaison recommence, j'ai vu ce jour lá un lueur de joie dans ces yeux.

A ces années là, il voyageait beaucoup, Suisse, Capri où se trovait son ami Gorki ainsi que d'autres pays de l'Europe et dans de differents villes de France ou il donnait parfois des conferances.



Le café Landolt où Lenine se voyait avec des inmigrés russes (Geneve)

  Il lui disait, qu'avec elle il passait les meilleures moments de sa vie, ils se rencontraient dans des endroits eloignés (Geneve) pour eviter etre vu.
En 1907 ils sont tous les deux en Suisse. Lenine se deplaçait en velo.

En 1908 il demenage a Paris et Lise s'en va elle aussi quelque temps aprés, mais entretemps il y a beaucoup de correspondance, il lui donne des conseilles: Tu debrais faire quelque chose et laisser de vivre comme un`petit  oiseau celeste, a la fin de la lettre il lui dit quelque chose qu'avec  le temps serait une prophètie: Dans le mesure du possible laisse quelques souvenirs d'aprés toi, il lui conseille d'avancer espirituellement voila donc un Lenine meconnu.

En 1910 tout le monde sait qu'il connait Inessa mais il ne quitte pas Lise, dans le reçit  on voit qu'il y a  des moments ou la passion languisse . Le courant de cet année il va a Danemark au congrès socialiste avec Inessa, mais Lise qui habite a la campagne parisienne ne s'est absolument rien. 

                                                                    
Cette foto fut prise dans les environs du Kremlim avec la casquette connue como chapeau Lenine il glissait dèjá les 50


En 1914 elle reçoit une lettre de la Pologne ou il avait demenagé, mais decide de ne pas y aller, elle dit avoir un mauvaise presentiment, mais au printemps elle reçoit une deuxieme et cette fois çi elle prepare sa valise et arrive a Zakopane, c'est dans cette ville qui aura lieu la derniere rencontre entre eux.

Il me quitta le soir même, toujours superieur et moqueur.La derniere image que j'ai de lui c'est celle d'un homme halluciné et narquois

Et içi finit le resumé d'un livre de 242 pages, pour en savoir plus entrez dans mon blog:


http://biografiasyotroscuentos.blogspot.com.es/2014/12/lenin-e-inessa-armand.html


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Une derniere question:  Qui fut Lise de K.? L'information se trouve a Moscou et a Paris

D'aprés le journal LIIBERATION   (3 /11/1999) elle vivait a Paris au frais de son amant, les sources d'information sont Komsomolskaïa Pravda,on doit supposer que les russes ont bien d'information.  

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